Comme l’a dit Christophe Bourdon, j’en ai effectivement marre d’entendre l’éternel « Salut l’artiste ». Je préfère, à ma façon, rendre un hommage et ce ne sera certainement pas le dernier, à Gérard Rinaldi.
Comme souvenir de ce charlot, décédé trop tôt, je ne retiendrai qu’un seul mot, l’apero (bic)!